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Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki]

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Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Vide
MessageSujet: Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Icon_minitime1Mer 02 Nov 2011, 10:00 pm

Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] 29oh21e

Quand la maladie nous tiens
7h50. La matinée avait été ennuyeuse. Réveillé à cause de sa mère qui voulait l’emmener à l'hôpital pour être sûr qu'elle n'avait rien (car cela faisait plusieurs jours qu'elle ne cessait de tousser et d'avoir un peu de fière), Sachiko avait décidé de sortir dehors pour ne pas avoir à subir d'examen contre les réclamations de sa mère. Elle s'était installée dans un coin à l’abri du vent, essayant de somnoler un peu, se sentant fatiguée et épuisée. Mais peine perdu, elle préféra appeler jun pour la retrouver quelques part, mais que voulez-vous, le destin avait décidé que ça ne serait pas son jour, la demoiselle ne pouvait pas car elle travaillait, mais que si Chisa était toujours partante elle pourrait se retrouver à midi. L'adolescente l'envoya balader, de mauvaise humeur et vagabonda dans le quartier pour tuer le temps, ne pouvant rentrer chez elle, et n'ayant de toute façon, plus envie d'être à l'intérieur. 12h. Elle avait décidé de squatter le restaurant de ramen de ce garçon qui l'intrigué tant, avait joué son petit manège pour gagner son attention, même si elle n'avait qu'une envie c'était se mettre dans un lit et dormir.
14h. L'après-midi fut un peu plus mouvementé, elle retrouva quelques G-Boys avec qui elle s'amusa comme à son habitude, enchainant partie de bowling sur Karaoké et aussi à s'amuser à terroriser de pauvre enfant du quartier. Le soir, elle resta avec eux, mangeant ce qu'ils avaient plus ou moins acheté, dirons nous plutôt volé. Puis elle avait déguerpi, se sentant vraiment fatigué. Musique dans les oreilles elle prit le chemin de l'appartement.
20h15. Balançant ses affaires dans un coin de l'appartement, Sachiko n'avait pas fait attention aux regards dérangés de la voisine du dessous du propriétaire du logement. Elle était simplement montée tout en fredonnant avant d'ouvrir la porte et de se débarrasser de son sac, ses chaussures et sa veste. Sur le chemin de la salle de bain, elle en profita pour enlever ses vêtements, gardant simplement shortie et soutien-gorge avant de faire une halte dans la chambre de l'occupant pour lui piquer une chemise et de prendre place dans la salle de bain. Musique à fort volume, l'adolescente profitait d'un bain bien chaud en toute tranquillité. Elle ne savait pas si Misaki rentrerait ce soir, ou même si il avait prévu d'être en compagnie dans son appartement, mais elle n'en faisait cas,, elle avait besoin d'un endroit bien chaud et tranquille. De plus il avait l'habitude de faire face aux arrivées imprévus de la demoiselle depuis le temps qu'elle utilisait son appartement comme deuxième maison. Bon, il était bien vrai qu'elle essayé de ne pas trop l'utiliser, juste quand elle n'avait nul part où loger et qu'elle ne voulait pas rentrer chez elle. Cette fois, c'était juste un cas particulier, elle n'avait même pas demandé à quelqu'un si il pourrait l'hébergé, elle avait pris tout simplement la direction de l'appartement de Misaki pour fuir sa famille et se mettre bien au chaud.
20h45. Une demi heure plus tard, après avoir bien détrempée, elle sortie de l'eau, se sécha et enfila ses sous-vêtements et la chemise qu'elle avait piqué plutôt avant de prendre la direction de la cuisine, shootant dans ses habits afin de les retirer du passage. Elle avait encore faim. Elle ne chercha pas bien longtemps, trouvant des restes à faire réchauffer qu'elle se prépara avant d'aller devant la télé, zappant sur des émissions faites pour vous abrutir. Il n'y avait rien de passionnant et sans s'en rendre compte, elle commença à s'endormir sur le canapé, les reste encore infinie devant elle.
[hj: J'avoue que c'est court, mais j'avais pas envie de trop blablater pour rien, donc j'en suis venue directement au principale.]
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Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Vide
MessageSujet: Re: Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Quand la maladie nous tiens [ft. Iwaike Misaki] Icon_minitime1Lun 21 Nov 2011, 10:47 pm


7h50… Le son strident de son réveil matin semblait beaucoup plus brutal en ce début de journée et cela agaça le jeune asiatique. Il ouvrit donc un œil vers son cadrant numéral et fronça les sourcils. Pourquoi avait-il mis son réveil à cette heure ? Il devait seulement travailler dans moins de trois heures… Aish… Avait-il vraiment besoin de se lever aussi tôt ? Et puis, ça lui apprendra à se coucher tard… Bon… on ne pouvait pas nier qu’amener des conquêtes d’une nuit chez lui avait été la meilleure des idées, car c’est certain qu’on ne dormait pas ou presque. Misaki fut donc heureux de constater qu’il était seul dans son lit. Il n’aimait pas mettre le monde dehors le matin et surtout, il ne voudrait pas qu’un membre des Yakuza entre chez lui et le voit dans cette situation. Il aurait l’air de quoi ? Il était censé travailler sur plusieurs trucs en tant qu’espion, mais il avait préféré se sortir de sa dure journée de boulot pour s’amuser… Ce qu’il lui arrivait assez fréquemment…
N’arrivant plus à fermer l’œil, Misaki décida de sortir de son lit. Bon. Il allait donc prendre son temps pour s’habiller et préparer ses quelques preuves avant d’aller voir le grand patron. Il s’étira alors dans son lit, prenant toute la place possible et lâcha un petit soupir satisfait. Alors ! Maintenant, il était temps d’aller se faire un bon café. Il quitta sa chambre et se rendit à la cuisine, actionnant la machine à café. Il n’attendit qu’un simple petit moment, puis alla dans le salon, là où il avait éparpillé toutes ses feuilles et quelques journaux. Aïe… Cela allait lui prendre des années ramasser ce genre de chose. Il déposa sa tasse sur une petite table non loin de lui et s’affala sur son sofa. Il se pencha vers l’avant, prenant un journal et lit les nouvelles actualités, car on peut dire que sa conquête de cette nuit avait pris la peine de lui mettre son journal sur sa table avant de partir. Il devrait le revoir, ce type. Il était intéressant…
Enfin, bref ! Il tourna les pages, ne voyant pas quelque chose accrochant dans les articles. Mais alors qu’il allait jeter le journal plus loin, un encadré attira vivement son attention. Oh… Les G-Boys avaient encore fait des misères la veille ? Et dire qu’il avait manqué une telle chose. Mais… pourquoi on ne disait pas que c’était eux qui avait commis ce vendalisme ? Ah, ces journalistes ! Pouvaient-ils seulement faire leur travail comme du monde ?! Ainsi, il n’aurait pas à refaire tous leur job pour savoir qui avait fait ce genre de chose et pourquoi… Merde. Le grand patron voudrait certainement avoir un peu plus de chose à ce sujet… Et cela dit, il devrait commencer à travailler maintenant.

11h52… Regardant son reflet dans la porte vitrée, Misaki replaça une mèche de cheveux qui était de travers sur son visage. Il s’était étonné d’avoir pu travailler autant, alors qu’il n’avait pas beaucoup dormit la veille. Mais tant mieux ! Il en connaissait un qui allait être content.
La porte s’ouvrit alors devant lui, laissant les gardes du corps du patron en sortir afin qu’il puisse passer devant eux, sans problème. Il se fit escorter près du grand Boss, ce qui était plutôt surprenant, car d’habitude, il n’était pas amené et suivit de la sorte pour se présenter devant son supérieur… Il devait donc s’être passé quelque chose. Il afficha donc son air habituel, ne voulant pas que son supérieur sache qu’il avait remarqué ce certain changement, car il ne faut pas oublier que la plus grande qualité de notre cher mafieux était qu’il observait tout et en profondeur.
Arrivé au-devant du grand patron, il s’inclina respectueusement devant lui et lui tendit ses documents. L’homme respecté et craint pas la population prit ce qu’il lui tendait et observa silencieusement les recherches de son protéger et, son fidèle conseiller.

20h45… En plus de faire des recherches supplémentaires sur les G-Boys et leurs occupations de la journée, Misaki en avait profité pour savoir ce qui s’était passé dans le clan des Yakuzas la veille pour savoir la raison exacte de ce renforcement sécuritaire autour du patron. Il y avait trouvé quelques morceaux intéressants et cela l’avait conduit directement vers les G-Boys. Ha ! Ces misérables avaient vandalisé un coin favori du grand boss et celui-ci ne l’avait pas si bien pris. Mais à quoi bon ? Ce n’était qu’un bar pour les prostituées, après tout ? Elles ne rapportaient jamais grand-chose, à comparer de la consommation de drogues qu’elles prenaient… Aish… Mais bon ! C’était ainsi qu’il percevait la vie de ces femmes et de ces quelques hommes.
Il gara donc sa voiture, s’assurant de prendre tous ses effets et monta jusqu’à son appartement. Il déverrouilla la porte et il se rendit compte, en l’ouvrant, qu’une bouffée de chaleur envahissait son chez-lui. Oh… Alors, il y avait quelqu’un dans son appartement… Mais qui ? Il n’attendait personne, pourtant ! Silencieusement, il referma la porte derrière lui, sortir son arme de derrière son dos et déposa ses effets au sol. Il s’avança prudemment dans son appartement et regarda autour, chaque détail qu’on aurait pu déplacer, alors que lui, il n’y avait pas touché plus tôt dans la journée et ses recherches le menèrent directement dans son salon. Il vit des restants de repas pas complètement mangé et une jeune femme endormie –ou sur le point de s’endormir ?- sur son divan. Il abaissa donc son arme et sourit. Il aurait dû s’en douter que la jeune Sachiko viendrait à son appartement. Il serra son arme dans son dos, sous sa veste et s’approcha de la jeune femme. Il la secoua légèrement à l’épaule, question de lui faire savoir qu’il était là.

- Hé, Sachiko-chan, réveilles-toi, il est tôt avant de dormir, dit-il avec un sourire malin aux lèvres.

S’assurant qu’elle allait bien, malgré le teint pâle de son visage, il alla chercher ses affaires à l’entrée et les déposa sur la table de la cuisine. Puis, il fit un détour vers son frigidaire pour se trouver quelque chose à manger. Il avait soudainement très faim. Il se sortit un plat de Kimchi avec des nouilles à ramen et mis le tout dans le four micro-onde. Il se tourna ensuite vers la jeune femme, ayant une vue sur le salon.

- Alors, ta mère t’a mis à la porte ou vous vous êtes quereller, encore une fois ? se renseigna Misaki, attendant la réponse de la jeune demoiselle.

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